À propos de force intérieure...

« Toute force est faible si elle n’est pas unie ! » (Proverbe populaire)

Cette réalité peut être expérimentée, par exemple, quand on se trouve confronté à certaines situations de vie dans lesquelles la capacité d'unir nos forces à celles d'autres personnes, permet d’obtenir des résultats qui ne seraient pas atteints autrement.

Cependant... à bien y réfléchir... c'est dans la dimension de la foi que ce principe trouve la plus importante de ses applications  :
Par la prière on a en effet la possibilité d'unir sa propre force humaine limitée, au Pouvoir illimité constamment en action dans l'univers, celui de Dieu, qui peut ainsi rendre possible même ce qui resterait humainement impossible.

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« La force, personne ne peut te la donner ! Toi seul peux la trouver en toi ». Voilà, cette pensée est sournoise, trompeuse. Parce que, si tu y réfléchis bien, elle NIE DIEU. Celui qui croit affirmera, au contraire, que la force intérieure VIENT de Celui qui peut tout. »
(Swami Roberto)

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Sur mon blog « Mon voyage dans le Surnaturel sur les empreintes de Swami Roberto », vous pouvez suivre une piste d'approfondissement qui part du terme « Prière » (Dans le Dictionnaire thématique).

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Joie partagée

L'authenticité d'une amitié se trouve surtout mise à l'épreuve dans les moments où l'on affronte les adversités... qui, comme on le sait, jouent souvent aussi le rôle d'une sorte de tamis qui retient les vrais amis, « en dispersant » ceux qui en réalité ne l'étaient pas.

Cependant, cette fonction révélatrice peut aussi être remplie par nos propres réussites, auxquelles participe avec une joie partagée l'ami authentique... tandis qu'il s’avère ne pas être ainsi, celui qui se laisse en quelque sorte ronger par l'envie... « compagne »  de cet égoïsme qui n’est vaincu que par la véritable amitié.

Arbres de vie

« Langue apaisante est un arbre de vie, langue perverse brise le cœur » (Pr 15,4)

Lorsque notre dire (« diction ») est marqué par le « bien »... nos bonnes paroles sont une « bénédiction » [a] pour les personnes à qui elles s'adressent...

Aide... et non « récompense »

Pour cultiver une bonne « relation » avec la Divine Miséricorde, il est bon de toujours garder à l'esprit le message qui brille dans la célèbre parabole évangélique du pharisien et du publicain (cf. Lc 18,9-14):
En s'adressant explicitement à « certains qui se flattaient d'être des justes et n'avaient que mépris pour les autres », Jésus montre clairement qu'à la Source de la Divine Miséricorde puisent ceux qui, à la manière de ce publicain, sont réalistement conscients de leurs propres limites et de leurs erreurs et sont donc capables d'invoquer, avec une foi humble et sincère, l'Amour miséricordieux de Dieu... et non ceux qui, au contraire, à la manière de ce pharisien, s'exaltent orgueilleusement devant Lui, se sentant présomptueusement supérieurs aux autres.

Bien penser

« Les pensées des justes ne sont qu'équité; Les desseins des méchants ne sont que fraude » (Pr 12,5)
« Les mauvaises pensées sont en abomination à l’Éternel » (Pr 15,26)   
« Les impies auront un châtiment conforme à leurs pensées ». (Sg 3,10)

Ces passages bibliques se prêtent bien au rappel d'une réalité fondamentale :
Tandis que les relations entre les êtres humains se développent sur la base de ce qui est humainement reconnaissable, c'est-à-dire les actions et les paroles que les personnes se manifestent entre elles... notre relation avec Dieu implique aussi une autre dimension de notre être, celle de la pensée, qui demeure inconnue pour les autres êtres humains... mais qui pour Lui, au contraire, n'a aucun secret (cf. Sir 42,20).
Ainsi, puisque notre Père sait non seulement ce que nous disons et faisons, mais aussi ce que nous pensons dans le « secret » de notre cœur, nous devons aussi apprendre à bien penser, pour pouvoir vivre de manière juste notre relation avec Lui... et pas seulement...

Saine Curiosité

« La curiosité est le moteur de l’exploration humaine et de la recherche scientifique, l’étincelle qui oriente nos intérêts et motive les efforts dans l’étude et dans le travail. C'est l'un de nos plus grands points forts...»

Dans une revue de vulgarisation scientifique [a], c'est ainsi que commence un article consacré à la curiosité qui, comme nous le savons, a joué un rôle fondamental depuis notre enfance... nous stimulant à découvrir, connaître, expérimenter... et nous poussant ainsi à vivre avec intensité notre existence.

Se faire guider par la vérité...

Depuis notre plus jeune âge, nous connaissons plus ou moins tous la fable du « berger qui menait ses moutons paître assez loin du village et qui aimait faire cette plaisanterie : il criait que les loups attaquaient son troupeau et il appelait les villageois à l'aide.
Deux ou trois fois, ceux-ci accoururent effrayés, et puis rebroussèrent chemin au milieu des moqueries.
Mais il arriva à la fin que les loups se présentèrent réellement. Pendant qu'ils dévoraient le troupeau, le berger invoqua l'aide des habitants de son village ; mais ils ne s'en inquiétèrent pas beaucoup, croyant qu'il plaisantait, comme d'habitude.
C'est ainsi qu'il perdit son troupeau ».
En soulignant que mentir, même simplement « pour plaisanter », a pour effet de ne pas être cru non plus quand on dit la vérité... cette célèbre fable pour enfants peut convenir aussi pour stimuler une réflexion « adulte » sur la nocivité du mensonge qui... évidemment, est encore plus grande quand on ment en trahissant délibérément la vérité au détriment du prochain, pour en retirer un avantage personnel.

Notre Mère Céleste

« Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d'elle, le disciple qu'il aimait, dit à sa mère: "Femme, voici ton fils !".
Puis il dit au disciple : "Voici ta mère !"... » (Jn 19,26-27) [a].

Ces paroles de Christ, “voici ta mère !”, parlent au cœur de Ses disciples de tous les temps, et donc également à chacun de nous qui... en reconnaissant aussi en Sa Mère notre Mère... pouvons nous confier pleinement à Elle, Médiatrice des Grâces que le Christ accorde à ceux qui La prient avec foi, afin qu'Elle intercède pour leurs besoins.

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« À tes pieds, ô Pleine de Grâce, nous mettons nos demandes d'aide et TOI, Mère, Tu nous remplis de joie.
Pèlerins fidèles, nous répondons à ta douce invitation. »
(Swami Roberto)

Temple d'Anima Universale,
où demeure la Mère de tous les peuples : Marie

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Sur mon blog « Mon voyage dans le Surnaturel sur les empreintes de Swami Roberto », vous pouvez suivre une piste d'approfondissement qui part du terme “Madone” (Dans le Dictionnaire thématique).
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[a] Sur mon blog (en italien) “Sui sentieri del Vangelo di Giovanni”, vous pouvez voir Gv 19,26-27

Mises à jour :-) ...

Depuis que les smartphones ont révolutionné notre façon de communiquer, il est d'usage commun d'avoir avec soi ces instruments informatiques qui permettent d'« étendre » les facultés humaines d'écouter, de voir, de consulter... dans un flux constant de nouvelles possibilités que le développement technologique incessant met à disposition par des « mises à jour » continuelles.

Cette opportunité, sans aucun doute utile, ne doit cependant pas se transformer en une diversion qui nous ferait perdre de vue « l'extension » qui pour chacun de nous reste une priorité absolue, c'est-à-dire celle de notre dimension intérieure personnelle, qui a également besoin de « mises à jour » continuelles pour être en phase avec le dynamisme de notre existence humaine.

Dépassement...

« Reconnaître que l'on a eu tort, c'est comme dire qu'aujourd'hui on est plus sage qu'hier ».

Cet aphorisme attribué à l'écrivain Jonathan Swift est « indigeste » pour notre orgueil qui, on le sait, ne voudrait jamais nous faire admettre que nous nous sommes trompés.

Spirituellement parlant, « reconnaître que l'on a eu tort » n'est cependant que le premier pas, que l'on doit aussi faire suivre, ensuite, par ceux qui servent à compléter l’œuvre :
soit en mettant en place la bonne volonté nécessaire pour remédier autant que possible aux effets provoqués par ses propres comportements incorrects...

Non pas « faire »… mais plutôt « être »

« À l’humilité le bonheur, à l’orgueil la calamité »
« L'orgueil est folie, l'humilité est sagesse »
(Proverbes populaires)

Pour rester à l’écart de la folie de l'orgueil, en cultivant par contre la sagesse de l'humilité, il faut, entre autre, éviter l'équivoque dans lequel tombent ceux qui... en confondant l'être avec l'apparence... se comportent en personnes humbles afin d'être considérées comme telles, adhérant à un cliché qui les font paraître moralement « en ordre ».

Au-dessus de notre nature humaine...

« Ne dis pas : “Comme il m’a fait, je lui ferai ; je rendrai à l’homme selon son œuvre”.» (Pr 24,29)
« Ne dis pas : “Je rendrai le mal”. Mets ton espérance dans le Seigneur, et il te délivrera.» (Pr 20,22)

Ceux qui se vengent des torts subis « jettent de l'huile sur le feu » du mal, entrant dans un cercle vicieux qui malheureusement les lie à la haine.
Au contraire, ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur et Lui font confiance en parcourant le chemin du pardon (cf. Mt 18,21-22)... obtiennent une véritable libération, en s'affranchissant des chaînes du ressentiment et de la vengeance.

Savoir écouter

« Savoir écouter signifie posséder, en plus du sien, le cerveau des autres » dit un aphorisme attribué à Léonard de Vinci, qui doit évidemment se référer à ce « savoir écouter » qui a aussi en lui la capacité de raisonner avec son propre cerveau, plutôt qu'avec celui des autres.

Il y a en effet une grande différence entre ceux qui pratiquent une forme d'écoute qui, passivement, tend à se conformer au cerveau des autres, en « s'homologuant » à la perspective d'autrui... et ceux qui utilisent plutôt la capacité d'écouter pour élargir leurs propres vues... c'est-à-dire, d'une part, pour comprendre les points de vue des autres et ensuite, d'autre part, pour les évaluer également à la lumière de leur propre discernement personnel.

Dans les petites choses... et dans les grandes

« Comme tu fuirais le serpent, fuis la faute: si tu l'approches elle te mordra; ses dents sont des dents de lion qui ôtent la vie aux hommes » (Sir 21,2)

Pour conjurer le risque redouté par cet ancien avertissement biblique, il faut se tenir à l'écart de toute forme de mal, y compris celui qui se déguise en « petit » mal et qui, précisément parce qu'il est apparemment « inoffensif », peut causer de grands dommages aux imprudents qui s'en approchent [a]... comme, par exemple, cela ressort aussi de ce verset tiré de la tradition orientale :

S’Arrêter et s'Écouter...

« Le bonheur est comme un papillon : si tu le poursuis, tu n'arrives jamais à l'attraper ; mais si tu restes calme, il peut même se poser sur toi ».

Une façon de dire... qu'il ne s'agit pas tant de courir après le bonheur, mais plutôt de créer intérieurement les conditions justes pour se laisser atteindre.
Toutefois, la métaphore proposée par cet aphorisme attribué à N. Hawthorne (écrivain américain, XIXe siècle) révèle aussi le caractère instable de ce genre de bonheur qui, comme un papillon, après s'être posé... peut ensuite reprendre son vol et s’éloigner.

Sois une nouvelle splendide

« La pratique vaut plus que la grammaire » (Proverbe populaire).

Ce principe, c'est-à-dire le fait que la pratique d'une certaine réalité, expérimentée personnellement, a plus de valeur que sa simple connaissance théorique (grammaire)... trouve des applications dans divers domaines de notre existence.

Par exemple, dans notre dimension intérieure c'est évidemment la pratique (et non la seule grammaire) de ce que nous avons compris, qui fait la différence... et il en va de même lorsqu'il s'agit de témoigner de notre foi au prochain.

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« Ta vie est ton message. Qu'elle soit une nouvelle splendide.»
(Swami Roberto)

Dans le Ciel de Dieu...

« Il n'existe pas un vaisseau rapide comme un livre
pour nous amener dans des terres lointaines
ni des coursiers comme une page de poésie qui se cabre.
Cette traversée, peut la faire aussi le pauvre sans oppression de péage
tant est frugal le char de l’âme »
(Emily E. Dickinson)

En fait... depuis l’école, j’ai toujours aimé accomplir ces traversées... en m'embarquant dans beaucoup de livres qui m'ont amené à explorer des terres lointaines... et/ou en chevauchant des pages de poésie qui ont fait se cabrer sentiments et émotions.

Bouche à ouvrir

« Bouche qui se tait, personne ne l'aide » (Proverbe populaire)

En effet, pour pouvoir recevoir l’aide de quelqu’un il faut d’abord que ce « quelqu’un » soit au courant du fait que nous en avons besoin.
Ainsi, dans certaines situations de sa propre vie, pour se faire aider, il faut avoir le courage d' « ouvrir la bouche »... par exemple avec un membre de sa famille, ou avec une personne amie... en exprimant les éventuels problèmes, en parlant de ses propres besoins et aspirations... qui autrement resteraient inconnus pour eux.

Miséricorde... donnée et reçue

Si l'on imagine de tracer un « profil » de Dieu qui en synthétise la Réalité telle qu’elle est présentée dans les Écritures Sacrées, l'un des aspects d'où il faut partir est sans aucun doute Sa Miséricorde, de laquelle coule le Plan Divin de Salut immortalisé dans les pages bibliques.  

Dérivant du latin “misèreo” (j'ai pitié) et “cor-cordis” (cœur), le mot « miséricorde » nous parle du cœur touché par la souffrance d'autrui... et en tant qu'attribut suprême de Dieu, la Miséricorde a été traditionnellement comprise en ce sens :
Notre Père… qui nous aime tous continuellement, nous les êtres vivants… est « touché » par la misère de notre condition terrestre, et donc Il nous secourt miséricordieusement face à nos difficultés et à nos souffrances.

Force Divine en action...

Le feu... qui sur le plan physique brûle, illumine, réchauffe... est, dans la tradition chrétienne, l'un des symboles du Saint-Esprit.
En réponse à la prière qui Lui est adressée avec foi, le Feu du Saint-Esprit se manifeste en effet en nous comme la Force Divine qui :

brûle ce qui est étranger à la pureté de son Divin Amour [a]...

illumine notre univers intérieur en dissipant les ténèbres de l'ignorance spirituelle [b]...

réchauffe nos cœurs en les « enflammant » de l'amour de Dieu et des autres êtres vivants [c].