Dans l'expression de sa propre liberté individuelle, l'être humain utilise trois facultés unies entre elles par un rapport « fraternel » :
La « sœur aînée » est la pensée, qui précède les « sœurs jumelles » parole et action… vu que « normalement » les êtres humains pensent avant de parler et d’agir.
Il y a cependant beaucoup de cas où la parole et l’action voudraient renverser l’ordre établi et où elles ne se préoccupent pas tellement de ce que pense… la pensée.
En effet, la seule priorité pour bien des personnes est de pouvoir dire et faire ce qu’elles veulent … satisfaisant de cette manière leur besoin d'une liberté sans limites.
Sauf que... si on aspire uniquement à se sentir libre de parler et de faire ce qu’on croit être le mieux... on risque d'oublier de prétendre aussi à la liberté « première-née », celle de la pensée.
La « sœur aînée » est la pensée, qui précède les « sœurs jumelles » parole et action… vu que « normalement » les êtres humains pensent avant de parler et d’agir.
Il y a cependant beaucoup de cas où la parole et l’action voudraient renverser l’ordre établi et où elles ne se préoccupent pas tellement de ce que pense… la pensée.
En effet, la seule priorité pour bien des personnes est de pouvoir dire et faire ce qu’elles veulent … satisfaisant de cette manière leur besoin d'une liberté sans limites.
Sauf que... si on aspire uniquement à se sentir libre de parler et de faire ce qu’on croit être le mieux... on risque d'oublier de prétendre aussi à la liberté « première-née », celle de la pensée.
Cela justement arrive à ceux qui tombent dans une équivoque de base ... c'est-à-dire celle de croire être libres intellectuellement « par droit acquis »... quand au contraire la liberté de pensée doit être recherchée et ensuite conservée par un travail qui exige un engagement continu destiné à la défendre de divers ennemis : l’information manipulée, la morale préformatée, l’opportunisme flatteur… et bien plus encore.