Les aides, les grâces, qui nous ont été prodiguées, à mes proches, à mes amis, à mes connaissances et à moi-même, sont innombrables.
Parmi de nombreux épisodes, pour ce qui me concerne, je peux mentionner celui des cystites à répétition, soignées par des antibiotiques mais tellement récurrentes, que mon médecin m'avait prévenue que le dernier antibiotique qu'il m'avait prescrit était le plus puissant, et qu'après il ne pourrait plus m'en prescrire d'autres.
Il est compréhensible que j'étais inquiète, puisque j'avais... consciencieusement, comme il est juste de le faire... suivi les traitements médicaux, sans obtenir le résultat que j'espérais, j'ai décidé de m'adresser à la Divine Providence, en la personne de Swami Roberto.
Pendant la rencontre de prière dominicale, le Darshan, quand Il passe parmi les gens, en s’arrêtant auprès des personnes qu'Il sait avoir particulièrement besoin d'un geste ou d'une parole, j'ai formulé en pensée : « Dis seulement une parole et je serai guérie, ou mieux, passe même seulement devant moi, sans t’arrêter, et je serai guérie ».
Juste à ce moment-là, Swami est entré dans la rangée où je me trouvais, et Il est passé devant moi, sans même me regarder.
Rentrée chez moi, les jours suivants j'ai constaté que les symptômes de l'infection avaient disparu, et l'examen qui a été fait sur moi, l'a confirmé.
Lors des entretiens avec les moines Ramia, à travers lesquels Swami offre ses conseils pour les différentes problématiques de ceux qui s'y rendent, j'ai pu recevoir par la suite d'autres dons d'aide.
Pour ce qui concerne les autres personnes qui me sont proches, je peux témoigner de la grâce miraculeuse reçue par mon mari, qui était tombé malade, ayant une tumeur grave, inopérable, le lymphome NH, et pour le soigner, il a été soumis périodiquement, pendant quatre années, à des cycles de chimiothérapie.
Lorsqu'il est allé à l'entretien, le Ramia l'a rassuré par rapport à l'intervention de Swami, ce qui nous a évidemment rassérénés.
Pendant les séances de chimiothérapie, mon mari et moi avons eu la possibilité de remarquer tout de suite l'intervention promise car, tandis que les autres patients plus jeunes que lui, pâles et affaiblis par les traitements, déclaraient avoir dû interrompre leur travail, mon mari, non seulement mangeait avec grand appétit et sans ses fréquents troubles digestifs, dans l'après-midi, après les traitements lourds du matin, mais il se sentait plus fort que quand il n'était pas malade et allait à son travail, où, à l'occasion, il soulevait même des poids considérables.
Quoi qu'il en soit, après tous ces cycles de chimiothérapies, l'examen de contrôle a révélé que la tumeur n'avait pas disparu mais s'était seulement réduite, au point que l'oncologue, n'ayant pas d'alternative à disposition, a suggéré la possibilité d'une éventuelle tentative dans un centre en Suisse qui pourtant ne garantissait pas des résultats positifs.
Tandis que nous étions encore dans le doute quant à savoir que faire, nous avons continué à participer aux Darshan du dimanche et lors d'une de ces occasions...
Swami, passant comme d'habitude dans les rangées des fidèles, s'est arrêté auprès de mon mari et Il a passé ses mains là où se trouvaient les ganglions lymphatiques malades et Il l'a guéri, comme nous avons pu le constater lors des contrôles médicaux suivants.Même l'oncologue a été stupéfait parce que, comme il nous l'a dit, il s'attendait à une recrudescence du mal.
Parmi les nombreuses grâces reçues par des proches, je peux mentionner le frère de mon mari qui, après une grave opération de l’œsophage, à la stupeur des médecins et des infirmiers, n'a pas eu besoin de prendre des antidouleurs pour les fortes douleurs que logiquement il aurait dû avoir, au moment où l'anesthésie avait fini son effet ; le mari de ma sœur, suivi par Swami dans une importante opération de la colonne vertébrale avec l'insertion de douze prothèses aux vertèbres, préservé tant des douleurs que d’éventuelles séquelles post-opératoires ; mes parents, qu'Il a aidés physiquement et spirituellement pendant leur vie et durant leur trépas, qui s'est passé sereinement, pendant leur sommeil.
Ce qui en outre me réconforte, c'est de savoir qu'ils ont été suivis dans leur parcours spirituel à partir du moment où ils ont abandonné leur corps, parce que Swami est capable de faire aussi cet acte d'Amour et de Charité.
D'autres témoignages me sont parvenus, au cours des années, de la part d'amis et de connaissances, parmi lesquels je choisis comme exemple celui qui concerne un ami cher, qui m'a toujours autorisée à raconter son extraordinaire expérience, car il se considère comme un miraculé.Je l'ai connu par sa femme, à laquelle j'ai parlé de Swami Roberto et de la possibilité d'un entretien avec Lui, vu qu'elle m'avait confié un problème de travail de son mari.
C'est elle... avant le mari qui l'a envoyée, comme on dit, en « éclaireur »... qui s'est rendue à l'entretien qui, comme elle me l'a raconté, l'a laissée stupéfaite et lui a confirmé l'authenticité et la nature exceptionnelle de la personne.
Sa stupeur était due au fait que, bien qu'ayant comme but déclaré la demande d'éclaircissement par rapport au travail de son mari, dans son cœur elle était préoccupée par son fils, qui depuis tout enfant était affligé de fièvres récurrentes.
Eh bien, sans qu'elle ait dit la moindre chose sur le problème de son fils, Swami l'a tout d'abord rassurée quant à la santé de son enfant et dans un deuxième temps seulement elle lui a parlé de son mari, en attribuant ses problèmes professionnels à des raisons exclusivement psychologiques, chose qui s'est révélée totalement exacte.
Après le compte rendu de sa femme, lui aussi a voulu rencontrer Roberto et cette rencontre lui a profondément changé la vie.
Depuis longtemps déjà, il vivait de médicaments (pour dormir, pour rester éveillé, pour calmer l'anxiété, au point d'en avoir un plein placard), pilules qu'il a réduites à une seule après la fameuse rencontre, pour ensuite abandonner définitivement même l'unique qui restait.
Le jour même de l'entretien, rentré à la maison, par l'aspect de son urine il a pu remarquer qu'il était en train d'expulser les toxines qui, à cause de l'excès de médicaments, lui avaient endommagé le foie.
Ensuite il a été aussi aidé pour vaincre l'insomnie, conséquence naturelle de l’arrêt de la dose massive de somnifères à laquelle il était accoutumé.
Cela n'a pas été facile, parce que mon ami a dû mettre en œuvre la force de sa volonté, vu que justement un vrai Maître doit doser savamment son aide, selon les caractéristiques et les problématiques de chaque personne, qui peut-être nécessite quelque chose de plus que le simple bienfait physique.
Dans ce cas, la personne avait besoin de fortifier sa volonté, sa détermination, pour vaincre des peurs, des anxiétés, le sentiment d'inadaptation, qui étaient en fait la vraie cause de sa dépendance.
Ainsi l'union entre l'intervention de Swami et la bonne volonté de mon ami a provoqué le miracle : la transformation de chenille en papillon, d'homme prisonnier de ses problèmes, au point de les mettre toujours au premier plan, en négligeant la nécessaire considération des problèmes d'autrui... à l'homme libre, sûr de lui, serein, disponible et disposé à aider d'autres personnes en difficulté.
En somme, toutes les personnes de ma connaissance qui sont entrées en contact avec Swami ont « reçu », en percevant sa bénéfique « présence » au cours de leur vie quotidienne, présence parfois accompagnée par des phénomènes hors de l'ordinaire, auxquels j'ai moi-même assisté.
Évidemment, pour qui a compris que la mission substantielle de Roberto est celle d'aider les personnes (celles qui le veulent) à redécouvrir leur propre essence divine et à en témoigner par leur comportement, les phénomènes sont une encourageante manifestation divine, mais bien sûr ce n'est pas quelque chose qui doive monopoliser l'intérêt, en empêchant d' « aller au-delà ».
Pour ce qui me concerne, je peux dire en avoir expérimenté différents et je crois juste d'offrir mon témoignage sur ceux-ci aussi.
Même en considérant l'enseignement spirituel comme d'importance primordiale pour moi, les phénomènes auxquels j'ai assisté au cours des années ont été des dons très appréciés, qui m'ont réchauffé le cœur dans les moments difficiles de la vie.
Dans les premiers temps, quand Swami recevait encore personnellement, mon mari et moi avons été témoins d'une bilocation de sa part.Nous venions juste d'arriver en voiture dans la cour, nous L'avons vu entrer dans la petite église, et donc nous étions certains qu'Il allait commencer juste à ce moment-là ses entretiens avec les personnes qui étaient en attente à l'intérieur.
Cependant, quand nous aussi nous sommes entrés, quelque secondes après Lui, nous L'avons vu déjà en entretien avec quelqu'un et... à cause de l'étrangeté de ce fait... nous nous sommes informés auprès des personnes qui étaient en attente, et nous avons appris qu'Il était arrivé depuis environ une heure, et que plusieurs parmi elles Lui avaient déjà parlé.
Je dois dire que cette chose ne m'a pas trop bouleversée, étant au courant des phénomènes de bilocation de Padre Pio de Pietralcina, dont ont témoigné plusieurs personnes quand le frère était encore en vie.
Un autre phénomène, encore plus prodigieux et cette fois-là en présence de plusieurs personnes, s'est vérifié le 10 mars 1992, quelques heures avant la célébration de la prière en l'honneur de l'anniversaire de la lacrimation de la petite statue de la Madone des roses, propriété de Roberto, qu'il avait reçue en don.
La statue avait versé des larmes pour la première fois le 10 mars 1980 et, pendant le Carême, la lacrimation s'était répétée plusieurs fois en une même journée.
Non pas des larmes de douleur, comme l'a précisé Roberto, mais de réconfort... parce que le message de la Madone, en 1992 comme en 1980, était :
« Mes larmes sont données pour éteindre une partie du feu de l'enfer qui se répand dans le monde… ». L’autre partie à éteindre était laissée à la bonne volonté des personnes.
La lacrimation commencée à environ 18h30 s'était poursuivie pendant une heure, tandis que le visage de la petite statue... de blanc qu'il était... avait pris une coloration rose, les yeux étaient devenus azurs et les paupières gonflées par les larmes.
Quand mon mari et moi sommes arrivés, nous avons pu assister à la récolte de ce don très précieux, accompagné par l'émotion de tous les présents.
Le 10 mars 1993 on a célébré à nouveau l'anniversaire et puisque je tenais tout particulièrement à être présente, mon mari s'est offert de rester chez nous avec notre petite fille.
Arrivée à destination, à ma grande stupeur, je me suis trouvée devant la répétition du miracle et j'ai spontanément pensé que malheureusement mon mari l'avait manqué, à cause de sa générosité envers moi.
Puisque la Madone était plus que jamais présente à travers Ses larmes, je L'ai priée de lui donner à lui aussi, à la maison, un signe de Sa présence. Je l'avais demandé, mais franchement je n'étais pas sûre que la Mère Divine exaucerait mon désir.
Cependant, quand je suis rentrée chez moi, mon mari m'a raconté le fait prodigieux qui lui était arrivé, simultanément, pendant mon absence de la maison.
Alors qu'il était au lit, dans l'obscurité, déjà endormi... il a été réveillé par un bruit soudain, provoqué par la chute de la petite couronne métallique qui, solidement mise en place, ceignait la tête de la statue de la Madone sur la commode de notre chambre à coucher.
Même si, régulièrement, je bougeais la statue pour la dépoussiérer, la petite couronne n'était jamais tombée, étant bien encastrée sur le front de la Madone, et depuis ce moment-là elle n'est plus tombée.
En tout cas, pour confirmer qu'il ne s'agissait pas d'une chute accidentelle, mon mari, encore dans l'obscurité, a vu le cadre en bois du grand miroir de la commode, accroché au mur derrière la petite statue, tout illuminé, et le phénomène a duré quelques minutes.
Le « signe » était une très belle réponse à ma prière, faite au bénéfice d'une autre personne :
comme j'ai eu, et que j'ai encore, l'occasion de le constater, les demandes adressées à Dieu, non pour son propre profit, mais pour d'autres... bien sûr si selon Son jugement elles peuvent être exaucées pour leur bien, sont accueillies.
Mon mari et moi, comme beaucoup d'autres personnes qui participent aux Darshan dominicaux, pouvons témoigner d'avoir indéniablement perçu des parfums de rose et de violette au passage de Swami parmi les gens, des parfums que même les plus sceptiques ne pourraient pas prendre pour artificiels.
Un parfum intense de rose c'est moi qui, ensuite, l'ai senti fortement provenir de mon mari dans un moment difficile de sa vie, signe de présence de la Madone invoquée par moi, comme si Elle voulait me dire de ne pas me préoccuper parce qu'Elle était en lui, pour sa protection.
Des années auparavant c'était mon mari qui avait senti un fort parfum de violette qui provenait de moi, et qui l'avait réveillé.
Le matin il m'avait parlé du parfum, et je lui avais raconté le rêve que j'avais fait justement cette nuit-là : j'avais vu Swami Roberto avec le flanc nu enveloppé d'un bandage blanc sur lequel je pouvais apercevoir une grande tache de sang.
Je me rends compte que pour ceux qui n'ont jamais entendu parler de ces manifestations hors de l'ordinaire, tout cela semble incroyable, mais moi cela m'a toujours semblé presque normal, peut-être parce que j'ai la « chance » d’être certaine de l'existence de Dieu et d'avoir déjà été mise au courant de ces phénomènes depuis toute petite, à l'époque de Padre Pio.
Plus récemment moi-même et d'autres personnes, y compris mes proches, avons été témoins d'autres phénomènes, comme des cercles colorés apparus autour du soleil pendant une célébration de prière en plein air ou des arcs-en-ciel par des après-midis ensoleillés (depuis le matin on n'avait pas vu une seule goutte de pluie) en arc de cercle, mais pas dans l'habituelle représentation de pont, mais à l'envers en guise de sourire.
Puisque ces arcs-en-ciel étaient apparus à peu d'entre nous, pendant que nous étions en train d'aider, en tant que bénévoles, pour le service de nettoyage dans Anima Universale, je les ai interprétés comme un remerciement pour le travail que nous étions en train de faire, même s'il était modeste, parce qu'évidemment Dieu apprécie aussi les petites et les très petites œuvres accomplies par amour, sans intérêt personnel.
Ce ne sont là que quelques exemples de ce que moi-même, et d'autres personnes avons pu expérimenter dans le cadre de notre Église, parce que d'autres manifestations sont plus personnelles et en les racontant j'en perdrais l'intime fragrance... et en tout cas les exemples que j'ai donnés me semblent plus que suffisants.
Je suis sûre, en outre, que d'autres fidèles d' « Anima Universale » peuvent raconter d'autres expériences de manifestations du Divin qu'elles ont vécu en personne, si elles le désirent, comme cela est arrivé... dans le passé... pour les fidèles de Padre Pio.