
(Ŗgveda X,117,1)
Cette maxime védique trouve par exemple une correspondance, dans la sphère chrétienne, avec le bien connu « c’est en donnant qu’on reçoit », contenu dans la Prière Simple.
Ce que tous ne prennent pas en considération, c'est que ce « donner » ne doit pas être « calculé ». Le « donner » fructueux est celui qui n’attend rien en échange.