Pendant les dernier deux jours vous avez été très nombreux à exprimer votre indignation, au téléphone ou par mail, d'une voix claire et forte.
Certains m'ont demandé s'il existe des implications concrètes en rapport avec l'utilisation de la Petite église et de la Chapelle du Divin Amour : je leur rèponds que rien n'est changé en ce qui concerne les activités publiques de culte qui ont lieu normalement au Monastère de Leinì, et qui continueront à avoir lieu régulièrement.
La lettre que les bureaux du cadastre nous a envoyée N'EST PAS UN OBSTACLE à nos activités de culte public, mais C'EST UNE DISCRIMINATION faite à travers une altération de la réalité et qui voudrait étiqueter nos activités de culte comme «non publiques».
C'est contre cette DISCRIMINATION que nous luttons, afin qu'Anima Universale soit pleinement respectée dans son identité d'Église Chrétienne publique qui s'adressée au monde entier.
Je publie aussi ces mots de mon frère, Ramia Riccardo:
« Discrimination religieuse : c’est aussi un fonctionnaire du cadastre qui classe comme lieux de culte "privés" les temples sacrés de l'église chrétienne Anima Universale, mon Église.
Personne ne peut appeler « privé » un lieu où tout le monde peut entrer sans invitation, sans carte d'inscription et sans payer de billet d'entrée.»