Parmi les personnes qui ont fait partie de l'enfance de Swami Roberto, une de celles que j'ai le mieux connues est Gianna Battistella.
Chaque fois que je la rencontrais... elle ne cessait jamais de me parler de cet enfant maigre qui, un jour entra dans sa vie, en la révolutionnant... et aujourd'hui j'ai relu quelques pages des cahiers dans lesquels, avant de monter au ciel, Gianna a écrit son témoignage :
« Ma vie changea tout à coup quand ma voisine Antonietta Bonato, me fit connaître son petit-fils du nom de Roberto. Il arrivait en Vénétie depuis Turin, où vivait sa famille, pour passer les vacances d'été.
Il était petit par rapport à l'âge qu'il avait... il était maigre, très maigre...
Mes enfants et moi... en l'approchant toujours plus... avons demandé à sa grand-mère de l'amener chez nous ; et elle tout heureuse me dit oui. Et depuis ce jour-là notre maison devint sa maison.
Roberto grandissait et allait à l'école... et pendant les vacances il était chez sa grand mère... et il venait chez nous avec mes enfants et d'autres amis, pour parler de la grandeur de Dieu.
Il avait des paroles plus grandes que lui.
Les gens qui s'approchaient de lui restaient bouche bée, car à cette époque de sa tendre enfance il parlait déjà de la Connaissance.
Roberto parlait d'une telle manière que tous, surpris, nous nous demandions quel projet divin avait conduit dans notre vie un enfant de ce genre, qui parlait comme un prophète.
Parfois des parents ou des connaissances venaient chez nous et tous restaient surpris devant les discours que Roberto tenait à propos de Dieu...
Tous étaient d'accord pour dire que même des Prêtres, des Philosophes, des Maîtres ou des Professeurs ne savaient pas parler avec sagesse et sapience, comme cet enfant qui, si on le regardait et l'écoutait semblait n'avoir rien à voir avec le monde.
Un jour, certaines personnes du village sont venues par curiosité, faisant semblant d'avoir mal.
Et ils voulaient que Roberto les aide.
Avant qu'ils n'arrivent, Roberto me dit :
« Fais attention, des personnes vont arriver pour se moquer de moi.
Sache que c'est un avertissement que je veux te donner tout de suite, parce qu'ils sont en train d'arriver".
Je l'ai regardé et j'ai dit en moi-même :
« Mais Roberto est fou ! ».
Après quelques minutes 4-5 personnes, des jeunes, âgés de 24-26 ans, se présentèrent...
À peine arrivés ils me demandèrent où était Roberto et je leur ouvris la porte.
À ce moment-là Roberto leur demanda :
« Qu'est-ce-que vous voulez de moi ? ».
Et ils répondirent :
« Problèmes de santé ! ».
Il leur dit : « Vous n'en avez pas besoin, je vous dis que vous êtes venus pour vous moquer de moi. Allez, je prierai pour vous »...
Ces personnes sont restées immobiles, sans voix...
et dirent ensuite :
« Oui, c'est vrai ! Nous sommes venus pour rire de toi » et ils s'excusèrent de toutes les manières possibles auprès de Roberto.
Et il leur dit : « Je vous ai déjà pardonné et je prierai pour vous » .
Puis il a répété une deuxième fois cette phrase.
Et ils voulaient que Roberto les aide.
Avant qu'ils n'arrivent, Roberto me dit :
« Fais attention, des personnes vont arriver pour se moquer de moi.
Sache que c'est un avertissement que je veux te donner tout de suite, parce qu'ils sont en train d'arriver".
Je l'ai regardé et j'ai dit en moi-même :
« Mais Roberto est fou ! ».
Après quelques minutes 4-5 personnes, des jeunes, âgés de 24-26 ans, se présentèrent...
À peine arrivés ils me demandèrent où était Roberto et je leur ouvris la porte.
À ce moment-là Roberto leur demanda :
« Qu'est-ce-que vous voulez de moi ? ».
Et ils répondirent :
« Problèmes de santé ! ».
Il leur dit : « Vous n'en avez pas besoin, je vous dis que vous êtes venus pour vous moquer de moi. Allez, je prierai pour vous »...
Ces personnes sont restées immobiles, sans voix...
et dirent ensuite :
« Oui, c'est vrai ! Nous sommes venus pour rire de toi » et ils s'excusèrent de toutes les manières possibles auprès de Roberto.
Et il leur dit : « Je vous ai déjà pardonné et je prierai pour vous » .
Puis il a répété une deuxième fois cette phrase.
En ce temps-là... même petit... il voyait tout. Parfois je cachais des choses mais je ne réussissais pas, car il découvrait tout.
Mais je me demandais en moi-même : « Mais qui peut être cette petite et grande créature"... qui voyait et savait tout.
Ce qui était beau, c'est qu'il faisait semblant de ne rien savoir, alors qu'au contraire il savait tout.
Pendant longtemps mon mari resta incrédule par rapport à ce qui se produisait.
Depuis plus de deux ans, il avait une forte douleur à un bras et il me grondait parce que je lui donnais une cuillère lourde pour manger ; un jour je regardai mon mari et je lui dis :
« Pourquoi tu ne te fais pas regarder et toucher par Roberto ? »
Et il me répondit : « Que veux-tu qu'il fasse, laisse tomber ».
En parlant ainsi, c'est comme s'il m'avait donné une gifle en plein visage. À ce moment-là, il m'est venu l'idée de lui dire :
« Si au moins il te faisait encore plus mal, vu que tu es méchant et que tu ne veux pas croire ».
Le temps passait et sa douleur continuait; je ne lui dis plus rien.
Un jour, avec gentillesse, enfin ce fut lui qui prit l’initiative et s'adressa à Roberto.
Il lui demanda : « Roberto, peux-tu me faire la faveur de me toucher le bras ? ».
Roberto, tout de suite gentil et bon comme toujours, lui imposa les mains sur les bras et dit des phrases en s'adressant au Seigneur.
Les jours et le mois passèrent, et mon mari ne me dit pas si la douleur avait disparu... et je ne lui demandai rien au sujet de son bras.
Je me disais : « C'est toi qui dois me dire si tu as mal ou non ».
Un jour, heureux et content, il me dit : « Tu sais, Gianna, à partir du moment où Roberto m'a touché, la douleur a disparu ».
Je lui répondis : “Il t'a fallu tout ce temps pour le comprendre ? ».
Et à partir de ce moment-là il crut en Roberto, et il le remercia et ne dit plus rien, au contraire il commença à l'admirer pour la bonté et l'amour qu'il avait envers le prochain ».
Mais je me demandais en moi-même : « Mais qui peut être cette petite et grande créature"... qui voyait et savait tout.
Ce qui était beau, c'est qu'il faisait semblant de ne rien savoir, alors qu'au contraire il savait tout.
Pendant longtemps mon mari resta incrédule par rapport à ce qui se produisait.
Depuis plus de deux ans, il avait une forte douleur à un bras et il me grondait parce que je lui donnais une cuillère lourde pour manger ; un jour je regardai mon mari et je lui dis :
« Pourquoi tu ne te fais pas regarder et toucher par Roberto ? »
Et il me répondit : « Que veux-tu qu'il fasse, laisse tomber ».
En parlant ainsi, c'est comme s'il m'avait donné une gifle en plein visage. À ce moment-là, il m'est venu l'idée de lui dire :
« Si au moins il te faisait encore plus mal, vu que tu es méchant et que tu ne veux pas croire ».
Le temps passait et sa douleur continuait; je ne lui dis plus rien.
Un jour, avec gentillesse, enfin ce fut lui qui prit l’initiative et s'adressa à Roberto.
Il lui demanda : « Roberto, peux-tu me faire la faveur de me toucher le bras ? ».
Roberto, tout de suite gentil et bon comme toujours, lui imposa les mains sur les bras et dit des phrases en s'adressant au Seigneur.
Les jours et le mois passèrent, et mon mari ne me dit pas si la douleur avait disparu... et je ne lui demandai rien au sujet de son bras.
Je me disais : « C'est toi qui dois me dire si tu as mal ou non ».
Un jour, heureux et content, il me dit : « Tu sais, Gianna, à partir du moment où Roberto m'a touché, la douleur a disparu ».
Je lui répondis : “Il t'a fallu tout ce temps pour le comprendre ? ».
Et à partir de ce moment-là il crut en Roberto, et il le remercia et ne dit plus rien, au contraire il commença à l'admirer pour la bonté et l'amour qu'il avait envers le prochain ».