Dans le jour dédié aux archanges Michel, Gabriel et Raphaël… je pense aujourd'hui à une épisode de mon enfance qui m’effraya d’une manière incroyable.
Je n’avais pas encore 10 ans et, en sortant du magasin de mon oncle, je passai à côté d’un petit camion mal parqué qui me cachait la vue. Ainsi… je traversai la rue sans voir une voiture qui arrivait et je risquai le pire.Le bruit du coup de frein... je sens mon sang se glacer dans mes veines... et le pare-chocs antérieur s’arrêter à quelques centimètres de mes jambes!
Je me souviens encore de la pâleur du visage de l’automobiliste, qui resta quelques instants comme pétrifié, mais je me souviens aussi très bien des battements de mon cœur.
L’automobiliste soulagé redémarra avec un regard de reproche ; une fois la peur passée je me joignis à mes camarades de jeu qui m’attendaient.
Seulement le soir je pensai de nouveau à ce qui s’était passé et, avant d’aller me coucher, je remerciai mon ange gardien qui m’avait préservé du danger : en ce moment, après quelques heures, je m’aperçus que le danger avait été très grand.
Dans mes prières d’enfant l’ange gardien avait une place privilégiée… je lui demandais de me protéger et aussi d’intercéder afin que ses amis veillent sur mes chers.
Que ce jours sont loin… et que mon sentiment devint plus faible avec le temps : l’adolescence et ensuite la « maturité » m’amenèrent à reléguer mon ami céleste dans le livre des contes de fées et je l’oubliai.
Sans en être conscient je risquai aussi pendant des années, de mettre Dieu dans le même livre de contes, en frôlant le précipice d’incrédulité, où beaucoup de jeunes de mon âge tombèrent.
Ensuite… tout a changé quand ma voie a croisé la pensée spirituelle d’Anima Universale : Dieu est redevenu le centre de gravité de ma vie, et les enseignements de Swami Roberto m’ont aidé à voir la réalité avec des yeux différents.
Aujourd’hui… je vois bien des adultes qui ont perdu leur cœur « d’enfant »… et c’est sous cet angle qu’il faut malheureusement considérer le triste éloignement de la foi pour beaucoup de personnes.
Trop nombreux sont ceux qui considèrent puérile la foi au surnaturel et ils se livrent ainsi au désespoir, en excluant l’ espoir de leur âme.
Jésus disait : « si vous ne devenez pas comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux »
La possibilité d’affronter et de dépasser beaucoup de moments difficiles de la vie, passe aussi à travers la capacité de savoir encore s’ adresser à Dieu avec l’ âme d’un enfant… pour demander son aide, pour invoquer sa protection, pour prier avec la conviction que le Père Éternel nous écoute.
C’est vraiment là une des grâces abondantes que je vois s’épanouir comme une fleur dans les personnes qui s’approchent de Swami Roberto. Je vois redécouvrir une prière à laquelle enfin on croit et qui n'est pas seulement repétée par cœur... une prière enfin libre de la « maturité » d’un monde qui considère trop souvent la foi une chose pour « gobeurs ».
Aujourd’hui… je vois bien des adultes qui ont perdu leur cœur « d’enfant »… et c’est sous cet angle qu’il faut malheureusement considérer le triste éloignement de la foi pour beaucoup de personnes.
Trop nombreux sont ceux qui considèrent puérile la foi au surnaturel et ils se livrent ainsi au désespoir, en excluant l’ espoir de leur âme.
Jésus disait : « si vous ne devenez pas comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux »
La possibilité d’affronter et de dépasser beaucoup de moments difficiles de la vie, passe aussi à travers la capacité de savoir encore s’ adresser à Dieu avec l’ âme d’un enfant… pour demander son aide, pour invoquer sa protection, pour prier avec la conviction que le Père Éternel nous écoute.
C’est vraiment là une des grâces abondantes que je vois s’épanouir comme une fleur dans les personnes qui s’approchent de Swami Roberto. Je vois redécouvrir une prière à laquelle enfin on croit et qui n'est pas seulement repétée par cœur... une prière enfin libre de la « maturité » d’un monde qui considère trop souvent la foi une chose pour « gobeurs ».
Ainsi… en s’éloignant de ce genre de mythe « de l’homme qui ne doit jamais demander » et en entreprenant un conscient chemin de croissance spirituelle … on permet aux amis célestes de sortir du livre de contes de fées où on les avait mis…
Ensuite… quand enfin le troisième œil s’ouvre et la faculté de voir le surnaturel commence… voilà qu’il devient même possible de les voir en action. C’est là le moment où il est possible de se rendre compte que les anges de Dieu travaillent sans cesse au bénéfice de l’humanité, comme des lumineux messagers de l’Amour Éternel.
Ensuite… quand enfin le troisième œil s’ouvre et la faculté de voir le surnaturel commence… voilà qu’il devient même possible de les voir en action. C’est là le moment où il est possible de se rendre compte que les anges de Dieu travaillent sans cesse au bénéfice de l’humanité, comme des lumineux messagers de l’Amour Éternel.
Les anges sur les épaules du jeune guérisseur.
Ce sont déjà des milliers les fidèles du garçon de Leinì Roberto Casarin, le « prédicateur de vingt ans en odeur de sainteté » sera à Bolzano demain,
dimanche 7 juin, à 10 h pour une « rencontre » dans l’amphithéâtre de l’école professionnelle, rue S. Gertrude, organisé par le « Centre d’Études Philosophiques Religieux ».
Roberto Casarin se définit lui-même tout simplement comme « un missionnaire de la prière » et il ajoute que « si quelqu’un guérit d’un mal, ce n’est pas ma faute. C’est une affaire de Dieu. »
Autour de ce garçon a en tout cas déjà éclaté, comme d’habitude, la « guerre d’opinions » et on lui a attribué les étiquettes les plus diverses. Il a fondé une Association « Christ dans l’Homme » avec des milliers d’adeptes et autant sont ceux qui vont en pèlerinage chez lui à Leinì (TO) en espérant de « guérir » ou au moins d’obtenir « un espoir ».
L’Église Officielle, comme d’habitude, ne dit rien et ses « ministres » agissent en pleine liberté et selon leur avantage. De nombreuses paroisses ont accueilli le « prédicateur », même en demandant de rester anonymes comme celle de Paderno Dugnano, et beaucoup d’autres, qui ont préféré de ne pas « risquer » et qui ont organisé les rencontres dans un autre lieu.
Le seul qui ne perd sa contenance et qui continue sa « mission » d’appel à la prière, c’est lui, ce garçon à l’air inspiré, aux cheveux frisés et aux yeux bleus avec son manteau marron, car ceci « rappelle l’idée de la terre, de notre rien. C’est un sceau d’humilité ».
En Roberto Casarin il n’y a aucun signe de fanatisme et son langage est correct et approprié, même s’il a terminé ses études à 13 ans et, à ce qu’on dit, il ne lit ni de livres ni de journaux.
Il mène une vie de prière et de méditation et il n’accepte pas les « miracles » que la croyance populaire lui attribue : « C’est Dieu qui fait tout » Fanatisme et croyance religieuse, cependant, comme en beaucoup de cas similaires , se mêlent au détriment d’une spiritualité qui ne devrait avoir besoin ni de « signes » ni de « sollicitations ».
Avec Roberto Casarin aussi ont « paru » des photos qui le représentent avec une grande goutte de sang au milieu de son front ou sous l’aspect de Jésus pendant la Cène avec ses apôtres.
Quand il avance, il est accompagné d’un « intense parfum de fleures » et les « flambeaux » (ainsi s’appellent les groupes de croyants dans toutes les villes d’Italie) augmentent démesurément (plus de deux mille membres).
On a imprimé des insignes, des foulards et des photos et chaque groupe en « pèlerinage » a besoin de nombreux cars.
Quand Roberto Casarin dit le rosaire (plus d’une heure et demi), il y a des personnes qui jurent qu’elles voient les anges derrière ses épaules.