Après cette unique rencontre chez mes parents, je ne revis plus Roberto pendant bien des années.
À première vue il ne m’avait pas fait une mauvaise impression… un bon garçon, mais que je ne pensais pas à même de satisfaire mon besoin de spiritualité et donc de réponses.
Mes parents, bien qu’à regret, au fil des années avaient dû se résigner devant l’évidence que « leur » Roberto ne me concernait pas.
À première vue il ne m’avait pas fait une mauvaise impression… un bon garçon, mais que je ne pensais pas à même de satisfaire mon besoin de spiritualité et donc de réponses.
Mes parents, bien qu’à regret, au fil des années avaient dû se résigner devant l’évidence que « leur » Roberto ne me concernait pas.
ils ont perdu la tête. Qui sait combien d’argent ils se feront soutirer par cet imposteur »…
Cet acharnement m’embêtait beaucoup, parce que la prolifération de toutes sortes de « médisances par parti pris »… me montrait le pire côté de cette mentalité ancienne, à laquelle j’avais déjà voulu tourner le dos quand j’avais abandonné le milieu paroissial.
En outre, les accusations contre Roberto avaient augmenté avec le temps, comme conséquence de l’insuccès des manœuvres « diplomatiques » par lesquelles certains paroissiens avaient cherché à ramener « au bercail » les brebis égarées.
On décrivait Roberto comme un monstre et on lui donnait aussi les épithètes de ruine des familles… de manipulateur… de faux prophète… d’histrion… de sataniste… d’escroc de Dieu… et j’en oublie certainement quelques-unes.
Ce qui me frappait était le fait que ceux qui parlaient ainsi, étaient justement les personnes qui ne le connaissaient pas.
Évidemment à Monteviale, dans le cœur de la Vénétie qui conservait toujours sa caractéristique de « Sacristie d’Italie », il n'était pas tolérable que quelqu’un puisse avoir une idée religieuse différente.
En réalité ce fut justement cette mesquine campagne diffamatoire qui me poussa à vouloir y voir plus clair. D’un côté beaucoup de personnes criaient au monstre et de l’autre je constatais que le fait de fréquenter Roberto avait fait beaucoup de bien à mes parents.
Jour après jour je voyais que leur choix si controversé, avait apporté avec lui des fruits incontestables : mes parents manifestaient une sérénité qu’auparavant ils n’avaient jamais eue ainsi qu'une foi en Dieu consolidée, sans aucun dommage pour leur portefeuille.
Je commençais ainsi à « sympathiser » avec leur « cause », parce que j’étais frappé par le courage et la cohérence avec lesquels ils avaient su poursuivre leur chemin, animés d’une détermination qui ne s’était pas affaiblie, même devant une hostilité incroyable.
Un jour j’ouvris un livre sur Roberto que depuis longtemps je voyais sur la table de chevet de ma mère.
Je ne savais pas encore précisément ce que Roberto enseignait et je me souviens avoir pensé : « Voyons un peu pourquoi les personnes lui en veulent tellement. »Je lus ces pages d’un seul trait et, à ma grande surprise, je découvris toute une série de réflexions lucides et profondes, qui touchaient justement les sujets qui me tenaient à cœur, mais d’une manière totalement différente par rapport à ce que j’avais connu jusqu’alors dans ma recherche personnelle, une exploration spirituelle et intellectuelle, pluriannuelle, qui m’avait laissé profondément insatisfait.
Dans certains passages du livre Roberto abordait avec clarté précisément les contradictions qui avaient été la cause de mon éloignement de la pratique religieuse catholique. D’autres pensées mettaient le « doigt sur la plaie »… c'est-à-dire mettaient en pleine lumière certaines caractéristiques « sensibles » de ma façon d’être.
Dans ce seul livre je trouvai concentrées des occasions de réflexion et des réponses que des années de lectures antérieures ne m’avaient pas données : on aurait dit un livre « magique ».
Je demandai à ma mère si elle en avait d'autres et je fus surpris en apprenant qu’elle n’avait que quelques fascicules d’un périodique et des cassettes audio qu’elle-même avait enregistrées très simplement. Je lus donc les fascicules du périodique « Christ dans l’homme » qui parlaient de l’Église que Roberto avait fondée et j’écoutai les enregistrements de quelques-uns des discours qu’il avait tenus à Lourdes, à Leinì, et en différents lieux de la Vénétie…
Sa voix indéfinissable cette fois me frappa.
J’entendis des concepts limpides, des paroles vraies, des prières inspirées qui parlaient le langage du cœur. J’aurais aimé voir des cassettes vidéo… mais ma mère n’avait pas de caméra.
En peu de temps je compris que les enseignements spirituels de ce jeune étaient vraiment le trésor que j’avais cherché inutilement pendant tant d’années : et que je n’aurais jamais pensé découvrir juste chez moi… grâce à
deux personnes simples comme mes parents.
Mes « pérégrinations » à la recherche d’une pensée spirituelle qui puisse me donner des réponses claires et convaincantes, trouvaient un point d’abordage pour le moins inattendu et surprenant, dans les paroles de ce garçon qui m’avait « regardé » depuis la couverture de « Gente » 13 ans auparavant, et que j’avais pratiquement ignoré lors de l'unique occasion où je l’avais vu en personne.
(Ma rencontre avec Swami – fin de la 3ème partie. À continuer…)
Ci-dessous la traduction des titres, des sous-titres et de l'article plus haut dans le post:
A TURIN ON DIT : C'EST LE NOUVEAU PADRE PIO.
Roberto Casarin, 18 ans, originaire de Riese, le village de San Pio X, est protagoniste d'une série de phénomènes extraordinaires - Sur son corps apparaissent les stigmates, à ses prières accourent des milliers de fidèles - Dit le professeur Pietro Zeglio, un illustre médecin turinois que depuis deux ans étudie le « cas » : Les manifestations dont j'ai été témoin ne sont pas envisagées par la science et elles ne trouvent aucune justification, pas même à la lumière de la parapsychologie.
TOUJOURS À L’ÉGLISE - «C'est le nouveau Padre Pio», disent des milliers de fidèles à Turin, hommes, femmes, et pas seulement des représentants des catégories les plus humbles, mais aussi des savants, des médecins, des théologiens.
Il n'a pas été facile, pour le chroniqueur, de recueillir des nouvelles sur la vie et l'activité de Roberto Casarin (ceci est le nom du mystérieux jeune homme de dix-huit ans), parce que sur elles ceux qui suivent son activité et accourent à ses prières ont étendu une réserve impénétrable.
À la fin, une fois détruit le mur de la méfiance, nous avons pu mieux focaliser sur ce personnage spécial qui certainement fera longtemps parler de lui.
LA PAROLE DU SAVANT - Turin. Le professeur Pietro Zeglio, professeur de Médecine et d’Hygiène du travail à l’Université de Turin, depuis deux ans suit l'activité et les phénomènes dont Roberto Casarin est protagoniste. « Quelques-uns de ces phénomènes », dit le savant « prennent une telle importance qu'ils m'induisent à les considérer, sans ambages, comme la projection de forces supraterrestres ».
Lire la 2ème partie
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A TURIN ON DIT : C'EST LE NOUVEAU PADRE PIO.
Roberto Casarin, 18 ans, originaire de Riese, le village de San Pio X, est protagoniste d'une série de phénomènes extraordinaires - Sur son corps apparaissent les stigmates, à ses prières accourent des milliers de fidèles - Dit le professeur Pietro Zeglio, un illustre médecin turinois que depuis deux ans étudie le « cas » : Les manifestations dont j'ai été témoin ne sont pas envisagées par la science et elles ne trouvent aucune justification, pas même à la lumière de la parapsychologie.
TOUJOURS À L’ÉGLISE - «C'est le nouveau Padre Pio», disent des milliers de fidèles à Turin, hommes, femmes, et pas seulement des représentants des catégories les plus humbles, mais aussi des savants, des médecins, des théologiens.
Il n'a pas été facile, pour le chroniqueur, de recueillir des nouvelles sur la vie et l'activité de Roberto Casarin (ceci est le nom du mystérieux jeune homme de dix-huit ans), parce que sur elles ceux qui suivent son activité et accourent à ses prières ont étendu une réserve impénétrable.
À la fin, une fois détruit le mur de la méfiance, nous avons pu mieux focaliser sur ce personnage spécial qui certainement fera longtemps parler de lui.
LA PAROLE DU SAVANT - Turin. Le professeur Pietro Zeglio, professeur de Médecine et d’Hygiène du travail à l’Université de Turin, depuis deux ans suit l'activité et les phénomènes dont Roberto Casarin est protagoniste. « Quelques-uns de ces phénomènes », dit le savant « prennent une telle importance qu'ils m'induisent à les considérer, sans ambages, comme la projection de forces supraterrestres ».
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