mercredi 23 septembre 2009

Stigmates visibles... et invisibles

StimmataPadrePioComme tout le monde sait, on attribue à Padre Pio d’innombrables miracles et aujourd’hui
on n’a pas encore mis fin aux discussions sur beaucoup d’aspects de sa vie, qui étaient et
qui sont inexplicables.
Parmi ces derniers, j’ai été personnellement frappé par un fameux évènement : les stigmates, que Padre Pio avait pendant son sacerdoce, disparurent peu avant sa mort.
Déjà à partir des mes années du lycée – une période où je m’intéressais particulièrement à l’approfondissement de thèmes scientifiques – il me semblait que, seulement ce qu’on pouvait vérifier à la lumière de la méthode empirique, avait un sens.
Et ce fait… la disparition des stigmates de P. Pio… m’avait frappé et même un peu agacé.
Je regrettais qu’on n’en pût savoir davantage… comme si le Père Éternel eût voulu soustraire cette manifestation surnaturelle à toute possibilité d’étude de la part des chercheurs de vérités scientifiques.
Aujourd’hui, après longtemps, je ne suis plus fâché, parce qu’on peut facilement penser que, même si ces « empreintes » sur le corps de P. Pio avaient été étudiées à fond, on n’aurait abouti à rien.
L’épreuve en est que les études pluriannuelles du célèbre scientifique Agostino Gemelli, une vraie lumière de l’époque, avaient eu l’effet de présenter P. Pio comme un hystérique, un visionnaire, un trompeur… sans rien comprendre de ces manifestations.
Aujourd’hui, quand je pense à P. Pio et à son immense grandeur spirituelle, je pense aussi à sa vie comme à une démonstration d’une réalité évidente : on ne peut s’approcher scientifiquement du surnaturel par les normaux canons empiriques, parce qu’évidemment Dieu ne peut « servir de cobaye ».
Ainsi, même en reconnaissant qu’il est important que la science avance, en analysant et en étudiant tout, je pense qu’il est nécessaire aussi de savoir par exemple distinguer entre les phénomènes paranormaux et les mystiques.
En effet, si le paranormal est, par définition, un objet d’étude de la parapsychologie, le mysticisme fait partie de la religion, sur laquelle la science ne peut alléguer des droits ni affirmer sa supériorité… puisque la méthode scientifique ne peut expliquer ce qui dépasse la nature.
Certes, je me rends compte qu’il n’est pas facile, surtout pour un scientifique, de définir ce qui appartient au domaine du mysticisme ou non… mais, vu que nous parlons de P. Pio, je crois que dans son cas il ne peut y avoir de doutes.
Sa vie est un mystère et Lui-même disait : « je suis un mystère pour moi-même »…Je peux bien m’exclamer : plus mystique que ça !
Quand j’entendis parler de Roberto dans les plus importants hebdomadaires italiens que ma mère gardait parmi ses « choses précieuses »... on le présentait comme « le nouveau Padre Pio ».
Pendant ces années ceux qui cherchaient à comprendre la phénoménologie de Swami msncryne savaient pas où donner de la tête.

Ensuite… arriva un scientifique illuminé par la foi et quelques aspects inexplicables de la vie de Roberto sont venus au jour.
Je vous fais raconter des choses par quelques articles qui ont été mon premier contact avec le « cas Roberto ».
Oggi

Je transcris les titres, les sous-titres et quelques légendes de l’article de
Giorgio Lazzarini, que vous voyez ici à côté, pour ceux qui n’ont pas d’ yeux
d’aigle et qui n’arrivent pas à les lire :
« UNE CROIX SUR SON FRONT, TOUT LE MONDE L’APPELLE SAINT »
On considère Roberto Casarin, 18 ans, le « nouveau Padre Pio » : la photo sur la page à côté doit accroître l’écho de son histoire, commencée par des visions du Christ et des guérisons « miraculeuses ». Pietro Zeglio, le médecin qui le suit depuis deux ans, dit : « Cette croix est restée un mois. J’ai vu aussi les stigmates ».
« J’aide ceux qui viennent pour offrir leur souffrance au Seigneur »,
déclare Roberto.
JE CONTRÔLE TOUT : Turin. Le professeur Pietro Zeglio, professeur de médecine et hygiène du travail. Il dit : « J’ai suivi tous les phénomènes qui concernent Roberto. Je dois conclure qu’on ne peut les expliquer que sous l’angle surnaturel ».
PHÉNOMÈNE INEXPLICABLE : Turin. Sur cette image tout à fait exceptionnelle le visage de Roberto Casarin avec un croix sur son front. On a pris cette photo les jours avant Pâques de l’année passée, quand sur les mains et sur les pieds du garçon apparurent aussi les stigmates. Le professeur Pietro Zeglio, qui a examiné le phénomène du point de vue clinique, dit : « La croix est restée visible un mois et les examens ont montré qu’il n’y avait aucune hémorragie sous-cutanée. La peau était lisse ».


ZeglioCostaLE SCIENTIFIQUE : Turin. Pietro Zeglio, professeur ayant obtenu la "libera docenza" de Médecine du Travail à l'Université de Turin. Depuis deux ans il suit le "cas" Roberto Casarin : "Les faits dont le jeune est protagoniste", dit le scientifique "ne trouvent aucune explication à la lumière de la médecine, et non plus à la lumière de la parapsychologie".LE THÉOLOGIEN : Turin. Père Eugenio Costa, jésuite, théologien et collaborateur de "Civiltà Cattolica". "Il faut éviter un jugement hâtif", dit-il: "le cas de Roberto Casarin se prête certainement à provoquer un intérêt très singulier. Mais seulement le temps pourra nous dire si et jusqu'à quel point tel intérêt pourra être justifié".
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