Aujourd’hui mon journal s’enrichit d’une très belle page, que ramia Osvaldo a voulu écrire après avoir lu mon post de dimanche passé.
Personne mieux que lui ne peut vous raconter comment un certain jour un joli petit fripon noir et blanc a fait son entrée dans notre communauté, ainsi... je vous laisse à ses mots.
Personne mieux que lui ne peut vous raconter comment un certain jour un joli petit fripon noir et blanc a fait son entrée dans notre communauté, ainsi... je vous laisse à ses mots.
« C’était un matin du mois de mai de l’année passée, le samedi 17 exactement.
En Italie, pour le commun des mortels ce nombre devrait porter malheur, mais je sais au contraire que pour la kabbale, le 17 a une tout autre signification et qu’il désigne « une chose, une situation ou un fait bénéfique…» en effet pour moi il en fut exactement ainsi.
Ce jour-là, je me promenais avec Swami Roberto le long d’une allée quand tout à coup nous avons entendu un fort miaulement provenant d’un buisson. C’était une plainte si aiguë que je pensai qu’il s’agissait du gémissement d’un chat blessé qui avait besoin d’aide.
Je m’approchai des arbrisseaux avec circonspection, conscient que les animaux blessés peuvent être dangereux, mais arrivé près du feuillage je n’entendis plus miauler.
Je pensai que le chat se taisait de peur d’être découvert.
Le buisson était énorme… vraiment l’idéal pour se cacher… mais après l’avoir rapidement inspecté, je me rendis compte qu’il n’y avait aucune trace de chat.
Je pensai en moi-même: « Mais comment se fait-il qu’il ait disparu?... nous l’avons entendu fort et clair, il était là! »… alors je me tournai vers Swami pour lui demander un éclaircissement, et avec merveille et stupeur je le vis avec un petit chaton dans les bras.
Ce n’était pas un chat adulte et blessé!
C’était un chaton tendre... noir et blanc, mais non pas grâce à des exploits sportifs (que les amis de la Juventus ne se sentent pas offensés.
Il était faible et mal nourri, le minois implorant de l’aide... et son petit œil droit blessé par une égratignure.
Il n’y a rien à dire... il était vraiment très « dangereux » ... mais uniquement pour mon cœur !
Sa mère l’avait probablement abandonné depuis quelques jours, et il était resté seul et sans défense pour affronter les pièges de ce printemps pluvieux.
On voyait qu’il était vif bien que maigrelet... et certainement j’aurais eu beaucoup de mal à le saisir. Quand je réalisai qu’il m’avait ignoré en courant de sa propre initiative dans les bras de Swami pour chercher confort et protection, je me rappelle que je pensai : « ce chat en sait long ! ». Swami le câlina quelque temps, et puis me le passa en me disant : « garde-le et prends-en bien soin, je sais que ça te fait plaisir ». En effet ce fut là un cadeau qui me combla de joie. Tout de suite je pourvus à sa pâtée et à sa petite niche... même si son lit préféré, fut immédiatement le mien. Je le fis immédiatement voir par le vétérinaire, afin qu’il pourvoie au soin du petit œil et à la vaccination ; le docteur me dit qu’il avait à peu près deux mois.
Maintenant il ne manquait que le nom. L’inspiration fut forte et claire, mais pour vous permettre à vous aussi de la comprendre, je dois vous raconter d’abord ce qui s’était passé auparavant.
Le jour précédent Red Canzian, célèbre bassiste des Pooh était venu nous rendre visite ; dans la soirée il avait été l’hôte d’honneur du festival musical : « Sans étiquette» qui avait eu lieu à Cirié (TO).
Au cours de la manifestation Red avait voulu que ramia Paolo s’exhibe avec lui dans un mémorable duo de guitare, à la fin duquel il félicita notre Ramia musicien en lui disant : « Tu joues comme un Dieu ».
Or... je désirais que le nom de ce petit polisson irrésistible qui me mordillait les doigts dès que je le prenais dans les bras, puisse me rappeler aussi les émotions de ces jours... et je cherchais donc un nom en rapport avec les Pooh.
Il me vint à l’esprit que, il y a de nombreuses années, ils s’étaient inspirés de la bande dessinée américaine très connue « Winnie the Pooh », et vu qu’ils s’étaient déjà appropriés la deuxième partie du nom, il ne me restait plus qu’à prendre la première.
« Winnie » sonnait vraiment bien et me plaisait beaucoup.
Oui... c’est vrai que dans la bande dessinée on parle d’un « petit ours » sympathique, mais pour moi c’est un nom qui va très bien aussi pour un chat , d’autant plus que le petit ours et le petit chat en question sont aussi sympathiques l’un que l’autre. Et en ce qui concerne son affection qu’il ne perd pas une occasion de me montrer... eh bien, permettez-moi de le dire, Winnie n’a pas d’égal !
Ce jour-là, je me promenais avec Swami Roberto le long d’une allée quand tout à coup nous avons entendu un fort miaulement provenant d’un buisson. C’était une plainte si aiguë que je pensai qu’il s’agissait du gémissement d’un chat blessé qui avait besoin d’aide.
Je m’approchai des arbrisseaux avec circonspection, conscient que les animaux blessés peuvent être dangereux, mais arrivé près du feuillage je n’entendis plus miauler.
Je pensai que le chat se taisait de peur d’être découvert.
Le buisson était énorme… vraiment l’idéal pour se cacher… mais après l’avoir rapidement inspecté, je me rendis compte qu’il n’y avait aucune trace de chat.
Je pensai en moi-même: « Mais comment se fait-il qu’il ait disparu?... nous l’avons entendu fort et clair, il était là! »… alors je me tournai vers Swami pour lui demander un éclaircissement, et avec merveille et stupeur je le vis avec un petit chaton dans les bras.
Ce n’était pas un chat adulte et blessé!
C’était un chaton tendre... noir et blanc, mais non pas grâce à des exploits sportifs (que les amis de la Juventus ne se sentent pas offensés.
Il était faible et mal nourri, le minois implorant de l’aide... et son petit œil droit blessé par une égratignure.
Il n’y a rien à dire... il était vraiment très « dangereux » ... mais uniquement pour mon cœur !
Sa mère l’avait probablement abandonné depuis quelques jours, et il était resté seul et sans défense pour affronter les pièges de ce printemps pluvieux.
On voyait qu’il était vif bien que maigrelet... et certainement j’aurais eu beaucoup de mal à le saisir. Quand je réalisai qu’il m’avait ignoré en courant de sa propre initiative dans les bras de Swami pour chercher confort et protection, je me rappelle que je pensai : « ce chat en sait long ! ». Swami le câlina quelque temps, et puis me le passa en me disant : « garde-le et prends-en bien soin, je sais que ça te fait plaisir ». En effet ce fut là un cadeau qui me combla de joie. Tout de suite je pourvus à sa pâtée et à sa petite niche... même si son lit préféré, fut immédiatement le mien. Je le fis immédiatement voir par le vétérinaire, afin qu’il pourvoie au soin du petit œil et à la vaccination ; le docteur me dit qu’il avait à peu près deux mois.
Maintenant il ne manquait que le nom. L’inspiration fut forte et claire, mais pour vous permettre à vous aussi de la comprendre, je dois vous raconter d’abord ce qui s’était passé auparavant.
Le jour précédent Red Canzian, célèbre bassiste des Pooh était venu nous rendre visite ; dans la soirée il avait été l’hôte d’honneur du festival musical : « Sans étiquette» qui avait eu lieu à Cirié (TO).
Au cours de la manifestation Red avait voulu que ramia Paolo s’exhibe avec lui dans un mémorable duo de guitare, à la fin duquel il félicita notre Ramia musicien en lui disant : « Tu joues comme un Dieu ».
Or... je désirais que le nom de ce petit polisson irrésistible qui me mordillait les doigts dès que je le prenais dans les bras, puisse me rappeler aussi les émotions de ces jours... et je cherchais donc un nom en rapport avec les Pooh.
Il me vint à l’esprit que, il y a de nombreuses années, ils s’étaient inspirés de la bande dessinée américaine très connue « Winnie the Pooh », et vu qu’ils s’étaient déjà appropriés la deuxième partie du nom, il ne me restait plus qu’à prendre la première.
« Winnie » sonnait vraiment bien et me plaisait beaucoup.
Oui... c’est vrai que dans la bande dessinée on parle d’un « petit ours » sympathique, mais pour moi c’est un nom qui va très bien aussi pour un chat , d’autant plus que le petit ours et le petit chat en question sont aussi sympathiques l’un que l’autre. Et en ce qui concerne son affection qu’il ne perd pas une occasion de me montrer... eh bien, permettez-moi de le dire, Winnie n’a pas d’égal !
Mais ... je dois aussi admettre que le premier amour ne s’oublie jamais. Et toutes les fois que Winnie voit Swami, refait surface l’amour de la première rencontre, celui qu’il éprouva ce matin de printemps, quand en évitant mes tentatives pour le dénicher, il se réfugia tranquillement avec un sacré toupet dans ses bras.
Leur rapport est si particulier que de temps à autre, je les vois se parler... oui, c’est ainsi... je ne suis absolument pas devenu fou !
Ce n’est pas que Winnie parle comme nous (du moins pour le moment), mais c’est Swami qui
doit connaître très bien le « chatonais ».Leur rapport est si particulier que de temps à autre, je les vois se parler... oui, c’est ainsi... je ne suis absolument pas devenu fou !
Ce n’est pas que Winnie parle comme nous (du moins pour le moment), mais c’est Swami qui
Parfois je reste étonné en les observant pendant qu’ils échangent durant quelques minutes, des sons semblables. Et ce n’est pas fini ! Eux deux s’entendent non seulement en parlant « miaulistiquement » mais encore avec des regards d’entente... par lesquels ils se comprennent et se répondent réciproquement.
Il n’y a rien à faire... je n’arrive pas du tout à ce niveau, mais je dois dire aussi que les occasions d’en profiter ne manquent pas. Ceci arrive toutes les fois où Winnie s’approche de moi en manifestant... le petit chien qui est en lui.
Alors je le vois qui commence à me suivre partout, dans l’intention évidente de m’associer à ses jeux. Si par hasard il n’y arrive pas, alors il se souvient qu’il est toujours un chat : il grimpe de manière féline sur tout ce qui monte vers le haut et quand enfin il obtient la « juste » attention, il regarde en bas, le minois fier, dans l’attente de recevoir les compliments qui sont l’unique manière de le faire descendre.
Mais en le regardant... dites-moi... ne les lui feriez-vous pas vous aussi ?